Andromeda est la refonte majeure du moteur Meta Ads, conçue pour gérer l'explosion des créatifs IA et optimiser la personnalisation publicitaire. Le changement fondamental : Meta ne cherche plus quelle audience performe, mais quelle création résonne le mieux dans une audience large. Le micro-ciblage s'efface au profit de la diversité créative (8 à 15 concepts uniques par campagne). L'algorithme redistribue automatiquement les budgets vers les campagnes riches en signaux (Pixel + CAPI obligatoires). L'analyse doit être globale, à l'échelle du compte. Le MER devient l'indicateur clé. La croissance vient désormais de la richesse créative et des signaux de qualité.

Avec la montée en puissance de LinkedIn Ads, les approches commerciales directes perdent en efficacité. Les audiences froides ne cliquent plus sur les messages du type “Demandez une démo”. L’algorithme, lui, valorise désormais les marques capables d’attirer, de rassurer et de convertir sans forcer.

Les funnels LinkedIn structurés illustrent ce virage. Ils transforment la publicité en un parcours clair : d’abord capter la curiosité avec du contenu utile, ensuite prouver son expertise avec des cas concrets, enfin faciliter la prise de contact avec des messages simples et humains.

Pour performer sur LinkedIn aujourd’hui, il ne suffit plus de segmenter. Il faut créer un enchaînement logique entre valeur, preuve et action. La logique n’est plus de vendre dès le premier clic, mais de faire avancer le prospect au bon rythme.

Avec l’automatisation croissante de Meta Ads, le retargeting manuel perd du terrain. Depuis iOS 14.5, la baisse de qualité du tracking a fragilisé les audiences personnalisées. En parallèle, l’algorithme de Meta apprend à cibler et recibler seul, de façon plus efficace que les stratégies traditionnelles.

Les campagnes Advantage+ incarnent ce virage. Elles réunissent acquisition et reciblage dans un seul flux optimisé. Pour rester performant sur Meta, il ne suffit plus de segmenter finement, mais de fournir des créas fortes et un tracking propre. La logique n’est plus de cibler, mais de nourrir l’algorithme.